Au moment de « boucler » les pages et de signer le bon à tirer, les mineurs en grève paraissent vouloir se rebiffer et ne pas subir les assauts des policiers les mains dans les poches.
Qui oserait les en blâmer ?
Pas nous, assurément. Et nous avouons ne pas trouver de mouchoir, comme aurait dit le bon poète beauceron, pour pleurer les victimes du « devoir ».
Il nous reste à souhaiter que les mineurs l’emportent et arrachent de substantielles satisfactions. Mais qu’ils se méfient de la politique et prennent garde aux politiciens aventuriers.